Warner Bros. Actualités Vinyl : La presse encense la série de Martin Scorsese et Mick Jagger

Vinyl : La presse encense la série de Martin Scorsese et Mick Jagger

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Vinyl : La presse encense la série de Martin Scorsese et Mick Jagger

Arrivée à l’antenne d’HBO comme une tornade rock qui entraîne tout sur son passage, Vinyl galvanise la presse internationale avec son pilote bourré d’adrénaline. Peinture choc et sans concession du New York de 1973 , la nouvelle série de la chaîne câblée frappe fort, en s’imposant comme un challengeur de poids au registre des shows originaux et audacieux. La recette du succès pour la chaîne qui a vu naître Les Soprano, The Wire ou Game of Thrones et qui ne cesse de faire découvrir de nouveaux horizons hautement addictifs à ses téléspectateurs. Avec Martin Scorsese et Mick Jagger en maîtres de cérémonie, le spectacle s’annonçait forcément grandiose, mais quelles louanges la critique adresse-t-elle à la dernière-née d’HBO ? Revue de presse des meilleures réactions.

« Une évocation exubérante, dure et en même temps formidable d'une ère disparue » ( Wall Street Journal )

Diffusés le soir de la Saint Valentin aux États-Unis (et 24h plus tard sur OCS), les deux premiers épisodes de Vinyl ont tenu leurs promesses, en électrisant un public réuni en masse devant le petit écran. Dès l’annonce d’une collaboration entre le réalisateur des Affranchis et le leader des Rolling Stones , les fans de Scorsese et de Jagger bouillonnaient d’impatience de découvrir la série musicale que leur réservait le tandem. Ayant prouvé son talent à filmer le rock dans toute sa splendeur avec Shine A Light – documentaire consacré à la tournée éponyme des Stones – le cinéaste aux Wayfarer met désormais en scène sa décadence, à travers le portrait d’un producteur fictif empruntant beaucoup aux grandes figures de l’industrie musicale des années 1970 : Richie Finestra, alias Bobby Cannavale .

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Un nom qui pourrait entrer au Panthéon des anti-héros du petit écran, à l’instar de Tony Soprano ou de Nucky Thompson. Renouant avec Scorsese après leur brillante collaboration sur Boardwalk Empire, Terence Winter a scénarisé l’ensemble des 10 épisodes qui composent la première saison. Incarnant le « sardonique et intelligent Richie Finestra » ( New York Times ), Cannavale – autre ancien membre du clan Boardwalk Empire – est bluffant dans le costume délicieusement seventies de ce protagoniste sans limite et sans scrupule.

« Le pilote (…) est l'une des meilleures œuvres de Martin Scorsese, une explosion d'amplis et d'effets Larsen, de nez enneigés, de chemises aux larges cols et de chaos » (Vulture)

Même enthousiasme des deux côtés de l’Atlantique

Résultant d’une gestation longue de 15 ans , Vinyl a d’abord été imaginé sous la forme d’un long métrage, avant qu’HBO n’en reprenne les rênes, en donnant la possibilité à Martin Scorsese de développer son projet à travers 10 épisodes d’une heure. La patte cinématographique de la chaîne, associée au brio du trio Scorsese / Jagger / Winter fait des étincelles, comme en témoigne l’enthousiasme critique que suscitent déjà les deux premiers épisodes ; 101 Pilot et 102 Yesterday Once More . Évoquant « un conte de fée rock'n'roll dur, un coup de poing raconté par les meilleurs du métier », le New York Daily News résume l’effervescence que salue également le Hollywood Reporter , adressant des louanges toutes particulières à l’interprète principal :

« Cette nouvelle série HBO nous plongeant dans l'industrie de la musique (…) excelle grâce à la brillante performance de Bobby Cannavale »

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Même son de cloche du côté de la presse hexagonale. Titrant « La BO rêvée », 20 Minutes souligne : « Visuellement superbe, Vinyl peut bien sûr compter sur une merveilleuse bande-son concoctée par Scorsese et Jagger », détaillant : « En plus du rock’n’roll, le sexe et les drogues pimentent ce premier épisode ainsi qu’une bonne dose d’humour ». Dans sa critique, Télérama pose le décor : « Vinyl (…) s'ouvre en 1973 sur un New York chaotique, où le punk, le disco et le rap sont en train de naître à quelques rues d'écart. Elle suit Finestra, entre spleen et besoin d'aller de l'avant, défonce et vie de famille , au moment où sa boîte va être rachetée par une major allemande ». Et l’hebdomadaire de conclure :

« Le premier épisode, au rythme endiablé, nous en met plein la vue »

Pour découvrir Vinyl à votre tour, rendez-vous tous les lundis soir sur OCS !

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