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5 bonnes raisons de rêver avec Pan

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5 bonnes raisons de rêver avec Pan

Avant que Crochet n’ait une main en moins et une furieuse aversion à l’encontre de Peter Pan , tous deux ont fait équipe. Une alliance surprenante, due à un ennemi commun : Barbe-Noire, le plus redoutable des pirates du Pays Imaginaire . Un être au sombre dessein, prêt à tout pour goûter à la vie éternelle, y compris à s’en prendre à Lily la Tigresse et sa tribu indienne. N’imaginant pas quelles palpitantes aventures l’attendent à Neverand, le jeune Peter grandit dans un orphelinat londonien tenu par des nonnes qui n’ont rien à envier aux fameux pirates dont il ne va pas tarder à faire la connaissance… À douze ans, son destin bascule quand il monte sur le galion volant qui le conduit vers son avenir.

Il y en a de nombreuses mais nous avons choisi 5 bonnes raisons d’aller voir Pan :

1.Pour l’histoire

Avec ses personnages connus de tous et son univers sans pareil, l’histoire de Peter Pan a traversé les générations, en propulsant son légendaire héros à la postérité. Aussi familiale qu’intemporelle, l’histoire originale et sa genèse sont pourtant mal connues, quand on sait que J. M. Barrie a mentionné Barbe-Noire à plusieurs reprises dans les pages de ses livres sans qu’il ne figure aux adaptations qui en découlent. Cherchant à aller au-delà de ce qu’on croit connaître de Peter Pan, Jason Fuchs , le scénariste du film, s’est intéressé à la manière dont les protagonistes s’étaient rencontrés. Une façon de redécouvrir une intrigue vieille de plus d’un siècle sous un angle inédit.

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2.Pour Joe Wright

Marchant dans les pas de Barrie pour remettre son emblématique personnage au goût du jour, Joe Wright prouve qu’il est possible de revisiter une œuvre culte sans la dénaturer. Conservant l’essence du Petit Oiseau Blanc – roman dans lequel Peter Pan est né – le réalisateur d’Orgueil et Préjugés donne une leçon de cinéma à ses pairs, en signant, non pas une adaptation, mais une nouvelle version . Une distinction qui a son importance et qui rappelle que cet expert de la transposition littéraire ne craint pas les défis. Après Austen et Tolstoï, il prolonge l’œuvre d’autre autre auteur classique avec panache. Une belle transmission, attestant que littérature et cinéma sont deux arts qui se complètent à merveille.

« Joe Wright, cinéaste dont il faut noter le style singulier, continue de faire des films qui ne ressemblent qu'à lui. Sa superproduction en met plein les yeux pour notre plus grand bonheur, avec la pincée d'irrévérence qu'il faut » (TF1 News)

3.Pour son casting

Faisant appel à des acteurs de renom pour les rôles d’adultes, Wright a fait le pari de confier le rôle principal à un jeune inconnu : Levi Miller . Un Australien qui vit « un rêve devenu réalité », comme il l’a confié à la presse, et pour qui il s’agit du tout premier blockbuster. Un saut dans le grand bain du cinéma, pour lequel il a pu compter sur le précieux soutien de ses partenaires à l’écran : Hugh Jackman , en redoutable vilain, Garrett Hedlund sous les traits d’un Crochet étonnamment prévenant et, enfin, l’envoûtante Rooney Mara sous la coiffe haute en couleurs de la princesse indienne. Un casing cinq étoiles qu’on a plaisir à découvrir au registre d’un film familial, comme l’a souligné Le JDD , évoquant « un récit métaphorique à la violence édulcorée, plein de poésie et d’excentricité, qui marque les débuts du phénoménal Levi Miller dans le rôle-titre face à Hugh Jackman en Barbe-Noire ».

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4.Pour son univers graphique à couper le souffle

Intense sur le fond comme sur la forme, Pan est « dépourvu du moindre temps mort », note Culturebox . Une aventure qui se vit les yeux grands ouverts et solidement accroché à ses popcorns. À chaque étape du voyage que Peter entreprend, une gamme chromatique spécifique éblouit le spectateur. Les décors , les costumes et l’époustouflant travail de post-production rivalisent d’efficacité pour donner vie au Pays Imaginaire. Pour son premier film en 3D , Joe Wright ne fait pas dans la demi-mesure en offrant un sensationnel relief aux plans aériens qui se succèdent. Entre émerveillement et séquences spectaculaires, le film entraîne le public dans un déluge d’émotions.

5.Pour sa BO féérique

Servi par une vingtaine de titres pop et oniriques , la BO de Pan ajoute un brin de magie aux images qu’on découvre à l’écran. Composée sous l’égide de John Powell – à qui on doit la bande originale de Shrek – elle oscille entre morceaux instrumentaux et chansons cristallines, à l’instar de Something's Not Right , très joli titre signé du duo Lily Allen / Tim Rice-Oxley . Accompagnée du leader du groupe Keane, la chanteuse britannique interprète un second titre dans une veine plus enjouée : Little Soldier . À noter, également, la présence de Christina Perry sur cette BO, avec la chanson I Believe .

Un film pour toute la famille , à découvrir en salles sans plus attendre !

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