Dans les coulisses d’Everything, Everything
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L’héroïne d’Everything, Everything donnerait tout pour explorer le monde qui l’entoure. Les lecteurs qui ont découvert ses aventures dans le best-seller de Nicola Yoon aimeraient, quant à eux, savoir comment la réalisatrice Stella Meghie adapte cette histoire. Attendue sur les écrans le 21 juin , cette romance adolescente tout en sensibilité se dévoile à travers les confidences du casting.
Dans la veine du roman initial
Projeté en avant-première dans le cadre de la 6e édition du Champs-Élysées Film Festival , Everything, Everything est seulement le second long métrage que réalise Stella Meghie. Conquise par le roman de Yoon, elle confie : « J’avais envie de mettre tout le livre dans le film », expliquant : « Nicola a écrit quelque chose de si drôle touchant, honnête, et même fantastique, que je tenais à ce que l’on retrouve toute cette émotion ». Et de l’émotion, le film en a à revendre, comme le souligne l’interprète principale, Amandla Stenberg , révélée il y a quelques années dans Hunger Games . « J’ai tout de suite accroché au côté excentrique de l’histoire, sa fantaisie, l’émotion palpable », souligne la jeune comédienne.
« J’ai déjà travaillé ce genre mais là, il y avait une nouvelle approche, de l’originalité » (Nick Robinson / Olly)
Jeux de décors
Pour apporter une signature unique à cette histoire, la mise en scène est particulièrement soignée. « Le film complète totalement le livre mais tout en ayant sa propre identité », observe Amandla. Pour symboliser l’enfermement sans tomber dans les pièges du huis-clos , le décor a été spécialement pensé comme un espace ouvert sur l’extérieur. Avec ses tons pastels et son mobilier épuré, la maison de Maddy reflète son positivisme : « Des verts pâles, des bleus, des mauves et des jaunes, tous plutôt feutrés à l’intérieur de la maison et vifs une fois qu’elle se trouve à l’extérieur », précise Meghie. Magie du cinéma, Vancouver se substitue à la San Fernando Valley de Los Angeles . Côté costumes, le blanc domine pour Maddy et le noir pour Olly , une jolie manière de rappeler que les contraires s’attirent !
Pour plonger au cœur de l’idylle d’Everything, Everything , rendez-vous au cinéma le 21 juin !