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#DCSuperBattle : Firefly vs. Hawkgirl

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#DCSuperBattle : Firefly vs. Hawkgirl

Chez DC, super-héros et super-méchants ont l’habitude de prendre de la hauteur pour mener à bien leurs missions. En entraînant le public dans le ciel des comics, Firefly et Hawkgirl se sont livrés à de spectaculaires envolées. Aujourd’hui, c’est à une battle fictive que l’Homme luciole et la Femme faucon sont confrontés !

Firefly : Il suffira d’une étincelle

Alias : Dans sa vie de tous les jours, il est connu sous le nom de Garfield Lynns , mais devient Firefly à la nuit tombée. L’alias de Ted Carson fera son apparition un peu plus tard.

Origines et avatars : Créé en 1952 à l’initiative de l’auteur France Herron et du dessinateur Dick Sprang – à qui on doit la version fifties de la Batmobile – Firefly fait sa première apparition dans le Detective Comics #184 . Super-méchant pyromane, il surpasse le dur à cuire Heatwave et le chamanique El Diablo au petit jeu des incendies volontaires, en étant est non seulement capable d’envoyer des flammes , mais aussi de voler . De quoi faire une entrée incandescente dans la Société Secrète des Super Vilains. La seconde version du personnage est l’œuvre de Bill Finger (co-créateur de Batman) et de Sheldon Moldoff , qui imaginent le nouvel alias de Firefly : Ted Carson. Introduit dans le Batman #126 de 1959, il est plus étoffé que la version originelle, notamment en raison de l’intrigue sentimentale qui se noue entre lui et Batwoman .

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Tandis que Lynns est superviseur d’effets pyrotechniques pour le cinéma et voleur à ses heures, Carson devrait être exempt de ces préoccupations financières, puisqu’en tant qu’héritier d’un empire minier il a toujours été à l’abri du besoin. Toutefois, c’était sans compter sur un penchant pour le jeu doublé d’une main malchanceuse, qui dilapident la fortune familiale et le pousse dans la criminalité. Cherchant à retrouver l’opulence des jours heureux, Ted Carson enchaîne les petits et grands larcins et, inévitablement, rencontre Batman et Robin . Les téléspectateurs d’Arrow ont pu l’apercevoir dans une version proche des comics, alors que ceux de Gotham ont eu la surprise de le découvrir sous les traits d’une femme, campée par Michelle Veintimilla . Les joueurs de Batman: Arkham Knight ont, quant à eux, pu l’incarner dans une effrayante version dépourvue de masque. À noter enfin que, dans le reboot New 52 , son histoire est celle d’un professeur de lycée qui, éconduit par sa petite-amie Cindy Cooke , décide de tout brûler. Les chagrins d’amour n’épargnent pas les super-méchants !

Mode opératoire : C’est presque fortuitement que Garfield Lynns est devenu le premier Firefly. À la suite d’une tentative de vol ratée, il est poursuivi par Batman et Robin, dans la nuit noire de Gotham. Lorsque le tandem de justiciers prend la mauvaise direction en apercevant une luciole , qu’ils prennent pour une lueur de cigarette , Lynns comprend qu’il tient quelque chose. Faisant diversion grâce à un astucieux système d’illusions d’optiques , son costume lumineux lui sert à lancer des assauts enflammés . Connaissant les matériaux inflammables, il emploie son intelligence à décupler sa force de frappe. Pour autant, Firefly n’est pas aussi bon chimiste que pyromane et va le payer en étant brûlé sur l’ensemble du corps lors d’une mauvaise manipulation.

Un évènement qui ne l’empêche pas de poursuivre ses sombres desseins, mais sous la protection d’une combinaison ignifugée . Equipé d’un masque aux grands yeux rouges semblables à ceux des mouches, ce costume noir comme la nuit lui permet de dissimuler son visage et d’agir en toute discrétion. Portant à la ceinture une arme sonique pouvant briser le verre, il a une prédilection pour son pistolet lance-flammes, chargé au napalm , et complète cet arsenal guerrier de grenades incendiaires dévastatrices. Capable d’envoyer de puissants faisceaux lumineux colorés, il peut voler à grande vitesse. Mieux vaut donc se tenir prêt à tout lorsque le bruit de ses ailes retentit…

Hawkgirl : Vaillante rapace

Alias : De son nom complet Shiera Sanders Hall , Hawkgirl se fait aussi appeler Shayera Hol , puis Kendra Saunders . Plusieurs identités, pour un personnage multifacettes.

Origines et avatars : Née de la plume de Gardner Fox, Dennis Neville et Sheldon Moldoff (encore lui !) dès le mois de janvier 1940, dans le Flash Comics #1 , Hawkgirl fait partie des personnages emblématiques de l’âge d’or DC. Introduite aux côtés d’ Hawkman , elle forme avec lui un indissociable duo et un couple marié. Sa carrière solo est cependant aussi exemplaire que celle qu’elle réalise en tandem. C’est dans la mythologie de l’Égypte ancienne que sa genèse prend sa source ; les fresques à la gloire du dieu Horus montrant l’attachement de ce peuple à l’oiseau protecteur. C’est dans un rêve d’Hawkman qu’Hawkgirl apparaît pour la première fois, avant que la super-héroïne ailée ne vienne à sa rencontre, en chair et en os.

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La refonte du personnage a lieu en 1999, sous l’égide des pointures James Robinson, Stephen Sadowski et David S. Goyer ; scénariste de la trilogie Dark Knight, Man of Steel et Batman v Superman : L'Aube de la Justice (version longue Blu-ray DVD le 23 juillet). Lancé dans le JSA Secret Files and Origins #1 , le nouvel alias d’Hawkgirl, Kendra Saunders, donne un second souffle au personnage, comme on le comprend au cours de l’ère de la Blackest Night , puis du Brightest Day . Ayant Silver Scarab pour fille, elle rappelle qu’être mère et justicière n’est pas incompatible. Ne devant pas être confondue avec l’Hawkwoman Sharon Parker , Hawkgirl a su étendre ses ailes en triomphant des péripéties qui ont jalonné son parcours, pour grandir et gagner en maturité. On assiste à cet envol dans les BD et séries animées qui lui sont consacrées, mais aussi en live-action sous les traits de Sahar Biniaz pour Smallville, ou de Ciara Renée chez Arrow.

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Mode opératoire : Affiliée à la Justice League , aux Birds of Prey et au corps des Black Lantern , Hawkgirl survole les escouades de la paix avec brio. Aussi féminine qu’envoûtante, elle porte un masque doré et une tenue verte qui souligne son athlétique silhouette. Ne se séparant jamais de sa massue médiévale à pointes , elle n’inspire pas confiance aux adversaires qui oseraient lui barrer la route. Fière et forte, la Femme faucon dépoussière l’image qu’on peut avoir d’une archéologue – son métier dans le civil – en maîtrisant aussi bien les lois de la pesanteur avec sa ceinture gravitationnelle , que celles de la réincarnation . Apte à guérir certaines blessures grâce aux origines qu’elle possède, elle protège Starling City et Gotham des criminels qui cherchent à y répandre le chaos. Ses ailes en métal sont son principal atout, de même que la force et l’acuité surhumaines dont elle est douée.

La Battle : Ailes d’acier contre ailes de luciole

Au cours de sa redoutable carrière et, surtout, de son passage par la case Arkham , Firefly a côtoyé nombre de méchants. Des alliances riches en enseignements, qui l’ont renforcé, en lui permettant d’élargir ses techniques de combat. Outre une collaboration avec Black Mask , son mentor reste Killer Moth – la mite tueuse – qui l’a pris sous son aile pour en faire son protégé. Un précieux soutien à ceci près que, lors un duel, on est toujours seul face à son adversaire.

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Dans la nature, certaines sortes de faucon sont insectivores et il y a fort à parier qu’il en irait de même au registre du comics, si Firefly venait à croiser la route d’Hawkgirl. Forte de sa puissance, de sa ruse et du pouvoir ancestral qu’elle tire de ses illustres aïeux égyptiens, la super-héroïne est en capacité de mettre Firefly à terre. Un combat perdu d’avance pour l’Homme luciole, qui se solderait sans doute par un coup de massue fatal de la part de la pugnace Hawkgirl, notre grande gagnante !

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