Warner Bros. Actualités CREED – L’Héritage de Rocky Balboa : La presse tient son champion

CREED – L’Héritage de Rocky Balboa : La presse tient son champion

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CREED – L’Héritage de Rocky Balboa : La presse tient son champion

Récemment consacré aux Golden Globes , grâce au trophée de Stallone dans la catégorie Meilleur second rôle masculin, CREED – L’Héritage de Rocky Balboa (13 janvier) met tout le monde d’accord. Prolongeant la saga éponyme à travers un septième opus percutant, ce spin-off est autant apprécié des amateurs de films de boxe, que des spectateurs en mal d’émotions ; comme on peut le lire sur les réseaux sociaux où les premiers chanceux à l’avoir vu en avant-première ne tarissent pas d’éloges : « #Creed ou un 7ème round parfait à tous les recoins du ring. Un drame social percutant et poignant dominé par un Sly impérial » (@FuckCinephiles). À la fois touchant et spectaculaire, il entraîne la critique dans son sillage, en dévoilant le parcours semé d’embûches d’un boxeur à l’étoffe de champion, en quête de repères et de reconnaissance. Un concentré d’énergie, labélisé 93% fresh sur Rotten Tomatoes .

Retour aux sources

Réalisé par Ryan Coogler , CREED – L’Héritage de Rocky Balboa témoigne d’une saisissante maturité de la part de ce jeune cinéaste, dont c’est seulement le deuxième long métrage. Après avoir fait ses gammes avec Fruitvale Station, le drame qui a révélé Michael B. Jordan, il refait appel à son acteur fétiche en lui faisant endosser le survêt d’un boxeur en herbe, que Rocky va accepter de prendre sous son aile, en le coachant pour le mener à la victoire. Un pitch qui parle forcément aux inconditionnels de la saga Rocky, mais pas uniquement, comme le confiait le réalisateur , également co-auteur du scénario :

« Rocky est un personnage auquel les spectateurs s'identifient, qu'il s'agisse des fans de cinéma d'action ou de drames, des incurables romantiques et même des simples cinéphiles : tout le monde aime cette saga car tout le monde s'y projette » (Ryan Coogler)

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Une universalité qui explique l’engouement que suscite le film dans la presse. Aux États-Unis déjà, où il a enregistré un démarrage record , CREED – L’Héritage de Rocky Balboa a été encensé par le New York Daily News , qui évoquait un long métrage « excitant, amusant et bien interprété ». Même son de cloche pour Rolling Stone Magazine qui, décernant 4 étoiles , s’enthousiasmait : « Nous avons un gagnant ! ». À la veille de sa sortie sur les écrans européens, le film est aussi dans les petits papiers de la presse francophone, à l’instar de La Tribune de Genève , qui loue la « brillante interprétation de Michael B. Jordan », tout en saluant la maîtrise de Ryan Coogler, au sujet de qui le quotidien suisse précise qu’il « vient du sérail des indépendants ».

Au-delà de la légende

Dans son émouvant discours aux Golden Globes, Sylvester Stallone a adressé ses remerciements à son personnage fétiche : « Je veux remercier mon ami imaginaire, Rocky Balboa, pour avoir été le meilleur ami que j'ai jamais eu », a-t-il confié. Indissociable de l’ex-boxeur de Philly , Sly livre une interprétation sans détour d’un Rocky vieillissant, qui a certes raccroché les gants de boxe, mais qui a encore de nombreux enseignements à transmettre à la relève. « Stallone est incroyable », résume USA Today . Incarnant la nouvelle génération marchant dans ses traces, Michael B. Jordan s’est entraîné avec des boxeurs professionnels, pour donner vie à Adonis et être crédible sur le ring. À raison de plusieurs séances de musculation quotidiennes , 6 jours par semaine.

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« Ryan Coogler s’approprie toute l’imagerie d’une des séries les plus populaires du cinéma de divertissement, la retourne avec une habileté saisissante, forçant le spectateur à regarder cette mythologie d’un autre point de vue » applaudit Le Monde , détaillant :

« Dans le même temps, le cinéaste respecte presque religieusement les règles de ce spectacle, jouant de tous les stimuli qui donnent au spectateur de cinéma l’envie de se comporter comme s’il avait un siège en bord de ring »

Dans les colonnes de la presse, on se rend compte que le pari gagnant de Coogler tient autant à la mise en scène, qu’au scénario, à l’interprétation des acteurs ou à la BO musclée qui l’accompagne : « L'une des chansons de la BO revisite le célèbre thème de Bill Conti, Last Breath », souligne RTL , précisant que le film dans son ensemble est « un bel hommage, respectueux, qui doit beaucoup au jeune comédien qui incarne Creed, Michael B. Jordan ». RTL conclut :

« L'humour est très présent : Stallone (...) adore se moquer de son propre mythe »

De quoi renforcer l’impatience du public français, qui pourra découvrir CREED – L’Héritage de Rocky Balboa dès le 13 janvier !

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