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Cake : 5 bonnes raisons de goûter au dernier film de Jennifer Aniston

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Cake : 5 bonnes raisons de goûter au dernier film de Jennifer Aniston

Sous ses airs de quarantenaire désabusée, Claire Bennett (Jennifer Aniston) dissimule un profond mal-être. Marquée physiquement et psychologiquement par un drame qui lui provoque des douleurs chroniques, elle peine à se reconstruire. Fragilisée par le décès d’une femme qui fréquentait son groupe de soutien, elle mène une vie solitaire. À ses côtés en toutes circonstances, Silvana, son employée de maison, veille sur elle au quotidien et la voit se rapprocher du séduisant Roy (Sam Worthington). Allant d’espoirs en désillusions, Claire va toutefois devoir redoubler d’efforts pour tenter de se relever…

Il y en a de nombreuses mais nous avons choisi 5 bonnes raisons d’aller voir Cake :

1) Pour découvrir Jennifer Aniston dans un rôle de composition

Ayant surpris tout le monde en s’affichant sans maquillage et affublée de cicatrices à l’affiche de Cake, Jennifer Aniston prouve qu’elle ne se résume pas à la Rachel de Friends ; le rôle qui l’a consacrée sur la scène internationale et qu’elle a incarné pendant les dix ans qu’a duré la série. Loin du glamour auquel elle a toujours habitué ses fans, la comédienne livre une interprétation toute en retenue et impressionne par la sincérité de son jeu empreint de mille émotions. Tantôt dôle, tantôt bouleversante, elle porte l’intrigue de ce film doux-amer avec une désarmante authenticité. Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur Jennifer Aniston, elle va vous étonner !

2) Pour le message d’espoir que véhicule le film

Drame intimiste résolument original, Cake tranche avec les productions hollywoodiennes qu’on a coutume de voir au cinéma. Jouant la carte du film indé, il déroule le fil d’une intrigue dense et complexe, en suivant le parcours houleux d’une 'Madame Tout-le-monde' qui va devoir réapprendre à vivre malgré ses blessures – visibles et invisibles – en se tournant vers l’avenir. Une épopée à la fois banale et extraordinaire, qui remet le quotidien en perspective, et qui vaut à Daniel Barnz de mettre en scène des séquences d’une vive émotion. Porteur d’espérance, ce film ne prétend pas être un feel good movie mais en possède les atouts.

3) Pour son casting attachant

Face à cette Jennifer Aniston méconnaissable, le réalisateur de Phoebe in Wonderland (2008) réunit un casting de choix, au sein duquel on retrouve Felicity Huffman – qu’il dirige pour la seconde fois – Sam Worthington (Le Choc des Titans), Adriana Barraza (Babel), William H. Macy (Shameless US), la fille de Meryl Streep Mamie Gummer et Anna Kendrick, dans un rôle aussi fantomatique qu’intense. Une distribution qui apporte d’autant plus de cachet à l’histoire, comme chacun d’eux permet à l’interprète de Claire d’exprimer une autre facette de sa personnalité.

4) Pour les belles critiques qu’il suscite

Sélectionné au TIFF l’an dernier, Cake a conquis la presse US, au même titre que la presse française à présent. Si les louanges sont en grande partie adressées à Jennifer Aniston et à sa saisissante performance d’actrice, l’histoire suscite, elle aussi, un vif enthousiasme. « Bien qu’il s’agisse d’un rôle de composition pour Jennifer Aniston, on a du mal à imaginer qui que ce soit d’autre à sa place. Voilà le signe d’une comédienne de génie », salue le Chicago Reader, tandis que Le Parisien souligne : « On se laisse emporter dans ce portrait (…) d'une quadra qui va très mal. Avant tout, grâce à la performance d'une Jennifer Aniston épatante qui prouve qu'elle est désormais une actrice crédible et à fort potentiel ». Ce à quoi Elle renchérit :

« Jennifer Aniston est époustouflante (...). Elle est forte et faible à la fois et c'est assez rare de voir l’ex-Rachel ainsi ».

5) Pour sa BO douce et prégnante

Montrant Los Angeles sous un jour âpre et mélancolique, Cake s’appuie à la fois sur un étalonnage des couleurs à dominantes froides et une BO aux accents folk, qui renforce l’émotion de l’intrigue. Accompagnant les hauts et les bas de Claire à travers sa quête de guérison, la pop sentimentale de Joshua Radin, The Joys et Jason Falkner donne d’autant d’ampleur au scénario, avec une mention spéciale à la reprise au ukulélé d’Halo de Beyoncé.

Pour rappel, Cake est actuellement à l’affiche. Pas une minute à perdre !

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