Warner Bros. Actualités Ballers : Que vaut le second round de la série HBO ?

Ballers : Que vaut le second round de la série HBO ?

Publié

Ballers : Que vaut le second round de la série HBO ?

Sport star outre-Atlantique, le football américain réunit en moyenne 115 millions de téléspectateurs devant la finale du Super Bowl. Un sport familier et fédérateur, dopé par le marketing savamment mené de la NFL (National Football League). Un phénomène qui dépasse les frontières du terrain, en inspirant à Stephen Levinson la série Ballers. À mi-parcours de la saison 2 – diffusée chaque lundi sur OCS City – découvrez-en plus sur ce show que la presse présente comme le digne héritier d’Entourage !

The Rock en meneur d’hommes

Si les séries sportives ont souvent eu la cote, HBO permet à Levinson de sortir des sentiers battus. Avec Ballers , exit le leitmotiv du quarterback et de la cheerleader des Frères Scott, et place aux coulisses d’un univers qui ne se dévoile jamais sous l’angle de l’appât du gain. Servie par un ton borderline à souhait et rythmée par une succession de situations cocasses, la série joue la carte du lâcher-prise, sans oublier de questionner les enjeux essentiels de ce secteur ô combien lucratif. Tandis que Brain Damaged salue « une certaine profondeur », Télérama résume :

« Dans une veine proche d’Entourage, HBO s'infiltre dans les coulisses du sport business. (…) Amusant et juste »

Ballers1

Si l’approche 'backstage' de Stephen Levinson a déjà fait ses preuves avec Entourage , l’ancien agent de Mark Wahlberg n’est pas seul responsable du succès de Ballers. Les fans de The Rock le savent, l’efficacité de la série tient en grande partie au charisme de Dwayne Johnson . Dans un style délicieusement bling bling, le héros de San Andreas se glisse dans le costume satiné de Spencer Strasmore , ex-légende des stades, gérant désormais le financement de talents du football américain. À ses côtés, Rob Corddry apporte un contraste bienvenu, en campant Joe , l’associé de Spencer. Également de la partie pour ce second chapitre de leurs aventures footballistiques, Andy Garcia figure au générique de 4 épisodes.

Toujours aussi catchy

Dans un Miami plus clinquant que jamais, Ballers déroule le fil d’une intrigue oscillant entre cynisme et révélations, avec une bonne dose de fun. Emplie d’une belle énergie, la série reprend les ingrédients de la saison précédente : montage nerveux et univers décontracté, avec une touche mélancolique qui fait son petit effet. BO endiablée , fêtes non moins endiablées, et dérapages en cascade complètent le tableau rococo de cette seconde saison, guidée par un mantra cher à Strasmore : G.O.A.T (Greatest Of All Time, le meilleur de tous les temps). De quoi conquérir à nouveau la critique.

« Bonne nouvelle pour qui n’aurait pas encore vu la saison 1 : ses dix épisodes de 27 minutes filent à la vitesse d’une Lamborghini Aventador. Quant aux autres, ils peuvent se réjouir : la saison 2 est encore plus réussie que la précédente » (Le Temps)

Ballers2

Forte de sa patte HBO, Ballers donne l’impression de ne se poser aucune limite et se savoure au premier comme au second degré. Divertissante à plus d’un titre, elle rappelle que le registre de la série décomplexée a de beaux jours devant lui, comme Entourage avait bénéficié d’une version cinématographique au terme de ses 8 saisons. D’ores et déjà confirmée pour une troisième saison , Ballers emprunte pour l’instant la même voie que sa grande sœur. De quoi prolonger encore un peu l’été, en plongeant dans l’atmosphère addictive de ce show qui décroche la médaille d’or – bling bling – de la catégorie 'séries à découvrir d’urgence' !

Pour rappel, retrouvez actuellement la saison 2 de Ballers tous les lundis sur OCS City .

Attention

 
 
Your browser is out-of-date!

Update your browser to view this website correctly.

Produit ajouté au panier