Warner Bros. Actualités Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E : Henry Cavill, le super-agent

Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E : Henry Cavill, le super-agent

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Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E : Henry Cavill, le super-agent

Révélé dans le costume de Superman , Henry Cavill prouve, avec Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E (16 septembre) , qu’il est aussi à l’aise au registre de la comédie d’espionnage que dans l’univers DC Comics, qui a vu naître sa renommée internationale. Alors que le public bouillonne de découvrir la suite des aventures snyderiennes du Kal-El / Clark Kent qu’il incarnait dans Man of Steel (2013), le comédien fait un crochet par la case Guy Ritchie , en prêtant ses traits à l’astucieux Napoleon Solo. Un nom qui ne manquera pas de titiller la fibre nostalgique des aficionados d’Agents très spéciaux – série culte des années 1960 dont il est tiré – tout en attisant la curiosité des néophytes. Partageant l’affiche avec Armie Hammer , l’acteur étoffe sa filmographie. Mais savez-vous vraiment tout de lui ? Portrait.

La passion du Septième Art

« La recrue Henry Cavill tient du casting parfait », avait salué la presse lorsque Man of Steel s’emparait du box-office, il y a deux ans.

Depuis, la carrière de celui qui était jusqu’alors un quasi-inconnu a décollé dans une envolée digne de Superman. Avec quatre longs métrages d’ores et déjà planifiés jusqu’à l’horizon 2019, le comédien à l’imposante carrure et au regard azur n’a pas le temps de chômer. Né sur l’île de Jersey , dans l’archipel Anglo-Normand situé entre les côtes françaises et britanniques, Henry Cavill grandit au sein d’une fratrie de cinq garçons. Curieux et instinctif, il va vite trouver une perspective d’avenir autrement plus alléchante que celle que lui offre sa vie d’insulaire, en commençant à rêver de cinéma dès l’adolescence. Résolu à percer comme acteur, il achève sa scolarité en Angleterre et c’est sur les bancs de la Stowe School de Buckingham qu’il goûte, pour la première fois, au théâtre . Cette période particulièrement formatrice lui permet d’acquérir les bases du métier. En se produisant dans les pièces et comédies musicales que monte son école, le jeune homme travaille son style et son aisance scénique, tout en gardant le Septième Art en ligne de mire.

De discrets débuts

Fort de cette prometteuse entame de parcours, l’étudiant de 18 ans ne perd pas de temps pour plonger dans le grand bain et décroche son premier rôle face caméra grâce à Laguna (2001), thriller passé plutôt inaperçu, auquel figurent notamment les frenchies Emmanuelle Seigner et Charles Aznavour. Bien que le succès ne soit pas au rendez-vous, le comédien débutant profite de cette expérience pour enchaîner, l’année suivante, avec le film en costumes La Vengeance de Monte Cristo (2002). Il y côtoie Jim Caviezel (Person of Interest) et Guy Pearce (L.A. Confidential) et commence à se faire timidement connaître outre-Atlantique. Le physique athlétique dont il est doté joue en sa faveur, mais Henry Cavill peine encore à trouver sa voie, de sorte qu’on le découvre ensuite aux génériques de Rose et Cassandra, Tristan & Yseult et Stardust, le mystère de l'étoile. Trois films, trois genres et autant de façons de mettre son éclectisme en avant.

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Pour autant, une tendance se dessine en filigrane de ce début de carrière : sa prédilection pour les films d’époque. Une préférence que confirme la série en costumes Les Tudors dès 2007, grâce au rôle régulier du Duc Charles Brandon . Aux yeux des téléspectateurs, Henry Cavill devient indissociable de ce personnage, qu’il incarnera jusqu’à l’ultime épisode, Être et ne plus être (2010). Au total, l’acteur sera apparu dans près d’une quarantaine d’épisodes. Mais c’est toujours vers le grand écran qu’il dirige ses espoirs et, après avoir auditionné sans succès pour Batman Begins et Superman Returns – des castings prémonitoires ? – l’acteur voit la chance lui sourire lorsque Woody Allen lui offre un rôle dans Whatever Works , film choral dans la pure tradition du réalisateur aux Wayfarer.

Le père de tous les super-héros

Les années 2010 marquent le tournant de l’action et c’est avec une confiance retrouvée qu’il porte successivement le néo-péplum Immortels (2011), puis le film badass Sans Issue , avant de décrocher le rôle de la consécration avec Man of Steel (2013). Le prenant sous son aile, Zack Snyder lui offre, enfin, un rôle à sa mesure en faisant de lui le nouveau visage du père des tous les super-héros. Traditionnellement, Superman est toujours incarné par un inconnu, ou presque. En dépit de sa prometteuse carrière, Henry Cavill n’échappe pas à la règle et peut se féliciter d’avoir été choisi pour ce projet, car Man of Steel en annonçait beaucoup d’autres… À commencer par le très attendu Batman v Superman : L’Aube de la Justice , l’an prochain, face à Ben Affleck. Avant d’enfiler sa fameuse cape rouge pour la seconde fois, le super-acteur fera un bond dans le passé avec Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E , dont l’histoire se déroule en pleine Guerre froide !

Une comédie d’espionnage efficace et léchée, à découvrir au cinéma le 16 septembre .

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