Warner Bros. Actualités War Dogs : Jonah Hill, le trublion d’Hollywood

War Dogs : Jonah Hill, le trublion d’Hollywood

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War Dogs : Jonah Hill, le trublion d’Hollywood

Formant, avec Miles Teller (Whiplash), le nouveau duo de loosers de Tod Phillips , Jonah Hill s’apprête à entraîner ses fans dans une aventure désopilante. Prenant la succession du wolfpack de la trilogie Very Bad Trip, il incarne le débrouillard Efraim de War Dogs (14 septembre) . Une comédie tirée d’une histoire vraie, dans laquelle deux Américains passent un contrat juteux avec l’armée des États-Unis, avant que les choses ne se compliquent sévèrement… Un pitch alléchant, qui permet au trublion d’Hollywood de laisser libre cours à son talent. Portrait.

L’humour comme prédilection

Doublement cité aux Oscars, Jonah Hill n’est pas seulement un acteur populaire que les producteurs s’arrachent. Doué pour déclencher l’hilarité du public, il mène sa carrière sous la bannière de l’humour, avec style. Ayant fait de son physique pataud son principal atout, il fait voler les stéréotypes du star system en éclats. Né à Los Angeles , il grandit à quelques encablures des studios de cinéma où il connaîtra la gloire à l’âge adulte. Baignant dans le show-business depuis toujours, il est élevé par une mère costumière et un père tourneur des Guns N' Roses. Le jeune Jonah porte alors encore le patronyme de Feldstein, qu’il abandonnera au moment de se lancer comme acteur et de prendre son second prénom comme nom d’artiste.

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Après avoir fait ses classes au lycée de Santa Monica et obtenu son diplôme universitaire dans le Colorado, l’étudiant rêve d’embrasser la voie des arts. S’installant à New York , il fait son baptême des planches dans un bar de l’East Village. À la différence de nombre de ses pairs, il est non seulement l’interprète principal des pièces dans lesquelles il se produit, mais aussi l’auteur . Une double casquette qui traduit son ambition dévorante. Le confortant dans sa vocation, ses premières pièces lui permettent de rôder son ton décalé et mordant, en vue de goûter au septième art. Bénéficiant d’un précieux coup de pouce de Dustin Hoffman , le jeune homme voit les portes du cinéma s’ouvrir au milieu des années 2000.

Premiers succès et consécration

Sa sœur, Beanie – qui est sa cadette de dix ans – est la première de la fratrie à se produire devant une caméra, en apparaissant dans une sitcom à l’âge de 11 ans. Deux ans plus tard, c’est au tour de Jonah Hill de faire ses premiers pas sur un plateau de tournage, grâce à la comédie de David O. Russell J'adore Huckabees (2004). Emmené par Jason Schwartzman, Jude Law et Naomi Watts, ce film est une expérience particulièrement formatrice pour le jeune homme, alors âgé de 21 ans . Suivront l’incontournable New York Police Blues –passage obligé des comédiens en devenir – et une nouvelle comédie sur grand écran : 40 ans, toujours puceau (2005), premier long métrage de Judd Apatow.

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Dès lors sa carrière décolle et, fort de cette révélation internationale, l’acteur voit les propositions affluer. L’année suivante marque ses débuts de scénariste , pour un épisode de l’emblématique SNL . Une casquette qu’Hill a récemment remise à l’occasion du diptyque 21 et 22 Jump Street. Également producteur depuis 2009, avec Brüno, il ne cesse d’élargir son champ d’action, bien que la comédie reste son domaine de prédilection. Tout s’accélère avec son incursion dans le registre du biopic dramatique, puisque Le Stratège (2011) lui vaut une cascade de citations ( BAFTA, Golden Globes, Oscars ). Django Unchained et Le loup de Wall Street (seconde nomination aux Oscars) asseyent son plébiscite critique, de même que le dernier film des frères Coen, Ave, César !

À présent, c’est à l’affiche du prochain bijou humoristique de Tod Phillips qu’on retrouvera Jonah Hill. Pour découvrir War Dogs, rendez-vous au cinéma le 14 septembre !

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