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Vive les vacances : Les confidences du casting

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Vive les vacances : Les confidences du casting

En salles le 19 août prochain, Vive les vacances s’annonce comme la comédie estivale de cet été 2015. En effet, vous ne trouverez pas meilleure compagnie que les Griswold, une famille pleine d’entrain et prête à tout pour passer le plus bel été de sa vie dans le parc d’attraction de Walley World . Mais c’était sans compter sur les obstacles du trajet (un camion façon Duel de Spielberg, des sources chaudes surprenantes, une voiture qui n’en fait qu’à sa tête), qui vont pimenter ces vacances pour le moins inédites. Alors, accrochez votre ceinture et laissez-vous porter dans ces aventures rocambolesques que l’équipe du film a eu plaisir à mettre en scène et à jouer. Morceaux choisis.

« On est fans de Bonjour les vacances : c'est un film entré dans la légende » (Jonathan M. Goldstein)

Hommage à la saga

Pensée comme une suite et non un remake, Vive les vacances s’affiche comme le cinquième épisode d’une saga américaine à succès, qui a vu le jour dans les pages du magazine humoristique National Lampoon et a fait l’objet d’une première adaptation au cinéma en 1983 sous le titre Bonjour les vacances. Fans de la première heure de la saga, les réalisateurs John Francis Daley et Jonathan M. Goldstein ont tout naturellement voulu remettre au goût du jour la franchise lucrative outre-Atlantique , tout en apportant leur propre patte : "On voulait que notre propre lecture de la saga parle à tous ceux qui connaissent et aiment l'original, mais aussi à tous ceux qui ne l'ont jamais vu" confie Jonathan M. Goldstein. "C'était important que ce nouveau projet soit une œuvre à part entière, tout en rendant hommage à son illustre prédécesseur", ajoute John Francis Daley.

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Côté casting, Ed Helms (Very Bad Trip), qui campe Rusty Griswold, un père de famille à l’initiative de ces vacances chaotiques , connaissait déjà le film d’origine, mais a été conquis par cette nouvelle lecture : « Le scénario était irrésistible, contemporain, et très original, tout en étant fidèle à l'humour du film d'origine ». Même chose pour l’actrice Christina Applegate , qui incarne Grebbie Griswold, une mère de famille rattrapée par son passé sulfureux : « Leur scénario est à la fois malin et piquant tout en ménageant sa place à l'émotion. On ne peut pas écrire un texte qui soit entièrement moqueur : l'émotion doit être au rendez-vous et elle y trouve sa place entre les scènes comiques et les mésaventures. C'est vraiment ce qui m'a motivée ».

On prend les mêmes et on recommence

Toute l’équipe du film s’est accordée à dire que le projet les a davantage motivé lorsqu’ils ont appris que Chevy Chase et Beverly D'Angelo seraient de la partie : « Nous avons tous voulu participer au projet pour Beverly et Chase » a déclaré Christina Applegate. De leur côté, les deux acteurs, présents depuis le début de la franchise dans les rôles de Clark et Ellen Griswold, les parents de Rusty, ont été flattés de redonner vie une cinquième fois à leurs personnages : « (…) J'ai adoré le scénario et le point de vue des deux réalisateurs, et j'ai été touché qu'on me demande de reprendre du service. Je pense que cet épisode de la saga va beaucoup faire rire le public » a déclaré Chevy Chase.

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Dans cette version 2015 de la famille Griswold, Chevy Chase joue le père d’Ed Helms (Rusty Griswold), qui lui ressemble en beaucoup de points : « Les chiens ne font pas des chats », affirme Helms, qui a surtout apprécié de jouer un Rusty adulte : « J’adore l’idée que Rusty soit maintenant père. J’étais hyper emballé de le jouer parce que, même si beaucoup de grands acteurs l’ont incarné ado, le Rusty adulte n’avait encore jamais existé ». Pour brosser le portrait de Rusty, les réalisateurs déclarent n’avoir pas entièrement pioché dans la personnalité de son père Clark : « On a essayé de lui insuffler la ténacité qu’avait Clark et sa faculté d’envisager la vie avec optimisme, à une différence près », fait remarquer John Francis Daley. « Rusty est attachant à sa manière, notamment par son ingénuité de père qui se retrouve lui-même dans une position difficile, mais pas forcément comme l’aurait été Clark » poursuit Jonathan M. Goldstein.

Impossible n’est pas Griswold

Le terme qui revient le plus souvent dans la bouche de l’équipe du film est sans nul doute l’adjectif « optimiste » . En effet, malgré l’accumulation de casseroles que les Griswold enchaînent, cette famille américaine typique garde toujours en tête le célèbre « Yes, we can ! » , et surtout le père, Rusty, que rien n’arrête : « Il ne court pas après une forme de grandeur mais c’est un père très droit et enthousiaste. Il est donc prêt à se battre et à faire ce qu’il faut quand les choses tournent mal pour s’assurer que sa famille prenne du bon temps coûte que coûte. Cela n’a pas d’importance qu’ils s’amusent 'vraiment', tant qu’ils sourient et 'disent' que c’est le cas. Ça suffit presque à Rusty et je crois qu’il tient ça de Clark Griswold : Rusty vit lui aussi dans un déni très malsain mais amusant ».

« On ne peut pas s'empêcher d'être touché par l'optimisme des Griswold. Si la situation tourne à la catastrophe sur la route des vacances, ils vont finir par arriver à Walley World, et c'est là – du moins le croient-ils – que les choses vont s'arranger. Bien entendu, rien ne s'arrange, mais c'est bien là le sujet du film : le désir que ça s'arrange. Ce sont tous ces petits incidents humoristiques ponctuant leur trajet qui valent le déplacement. » (Chevy Chase)

Même s’il ne se l’avoue pas lui-même, Rusty n’est pas né sous une bonne étoile. De l’achat d’une nouvelle voiture au trajet des vacances, il est le dénominateur commun à toutes les mésaventures que vit la famille. « Rusty tient de ses parents cette malédiction familiale qui fait que les catastrophes s'accumulent quand ils sont en vacances », explique le cinéaste John Francis Daley. « Il a également hérité de son père la même détermination chevillée au corps à se rendre sur place et à prendre du bon temps, quoi qu'il en coûte ! » renchéri-t-il. Beverly D'Angelo (Ellen Griswold) va même plus loin en déclarant que c’est justement cette propension à l’étourderie et à la naïveté du père de famille qui a fait le succès de la franchise : « Cette saga est devenue une sorte de phénomène qui résiste au passage des années. Il y a quelque chose chez Clark Griswold qui touche les gens – c'est sans doute lié à sa volonté de réaliser un rêve coûte que coûte. Je crois que les vacances familiales des Griswold en sont l'incarnation ».

Préparez vos zygomatiques, la génération 2015 des Griswold débarquent dans vos salles le 19 août prochain.

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