Bien ranger son bureau : Nos conseils pour la journée mondiale du rangement de bureau

Le printemps est là et, avec lui, la traditionnelle saison du grand nettoyage . Si donner un coup de d’éclat à votre maison est un défi et que la mélodie enjouée du Spring Cleaning de Fats Waller ne suffit pas à vous motiver, la solution est peut-être de commencer par votre lieu de travail, en rangeant votre bureau. Une activité des plus sérieuses, qui a droit à sa Journée mondiale depuis trois ans et qui compte autant d’adeptes dans les open spaces que dans les structures plus modestes. Pour une année feng shui à souhait, le maître-mot est l’organisation, alors ne faites pas l’impasse sur cette date-clé du calendrier ! Pour vous aider, focus sur 3 films aux précieux conseils.

Le Nouveau Stagiaire

Lorsqu’il renoue avec le monde du travail, à 70 ans passés, Ben Whittaker ( Robert De Niro ) sait que le chemin de la reprise sera semé d’embûches, mais n’imagine pas toutes les aventures qui l’attendent. Ne s’épanouissant plus dans sa vie de veuf retraité, c’est pour tromper son ennui qu’il a décidé d’intégrer l’effervescente start-up de Jules Ostin ( Anne Hathaway ) . Cela implique, pour lui, de repartir de zéro, en se faisant engagé comme simple stagiaire et en ayant pour collègues des jeunes dont la moyenne d’âge est trois fois inférieure à la sienne. Pour autant, en dépit des maladresses des premiers temps, Ben va réussir à se faire une place au sein de l’équipe, en faisant ce qu’il sait faire de mieux : travailler avec rigueur et organisation. Une efficacité qui s’avère payante, à l’instar du jour où il range enfin le bureau qui servait de dépotoir à l’ensemble des employés. Une scène aussi drôle que symbolique, qui est à l’image de cette comédie douce-amère signée Nancy Meyers : rafraîchissante.

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Comment tuer son boss 1 et 2

Si ranger votre bureau est au-dessus de vos forces, une alternative – un brin plus radicale – existe pour vous rendre la vie au travail plus agréable. Dans Comment tuer son boss ? (2011), Seth Gordon verbalise, avec humour, une envie que nombre d’employés ont pu avoir sans se l’avouer. « Je me suis en grande partie inspiré de mon histoire personnelle », confiera Michael Markowitz , coscénariste, qui avait visiblement des comptes à régler au vu du déluge de gags, de situations cocasses et de répliques cinglantes qui rythment l’intrigue de ce buddy movie , porté par le trio Jason Bateman / Charlie Day / Jason Sudeikis dans les rôles des employés mécontents et de Jennifer Aniston, Colin Farrell et Kevin Spacey dans ceux de leurs infâmes patrons. Un face-à-face qui vaut son pesant de popcorns et qui a été prolongé par une suite non moins désopilante en 2014, avec cette fois Sean Anders aux manettes et Christoph Waltz en boss redoutable.

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Mafia Blues

Pas toujours simple de s’épanouir au travail. Paul Viti ( Robert De Niro ) le comprend à ses dépens. Alors que l’activité professionnelle qu’il exerce est très éloignée d’un emploi de bureau classique, ce chef d’entreprise doit se rendre à l’évidence que la dépression le guette. Il pourrait s’agir d’un patient parmi tant d’autres pour le Dr. Sobel ( Billy Crystal ), le psychiatre qui le suit, à ceci près que l’entreprise que gère Viti est un clan mafieux . Si la comparaison avec Les Soprano est inévitable, l’humour du diptyque d’Harold Ramis (Un Jour sans fin) contraste avec la 'famille' à la gâchette facile d’HBO. Entre petites et grosses angoisses, vraies et fausses menaces, la thérapie conduite par Sobel s’annonce pour le moins mouvementée, même lorsque, fraîchement libéré de prison, Viti refait appel à ses services pour veiller à ce que son moral de parrain mafieux soit au beau fixe et l’embarquer dans ses embrouilles. Un conseil dans ces cas-là : rester zen !

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