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Dans les coulisses de San Andreas

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Dans les coulisses de San Andreas

« Ce film fait battre le cœur du spectateur », avait prévenu Dwayne Johnson en interview. Puissant et riche en émotions, San Andreas (27 mai) se profile comme le film choc à ne surtout pas manquer. Fort d’un niveau d’exigence à la hauteur de son sujet, ce troisième long métrage de Brad Peyton tranche avec les films familiaux auxquels nous avait habitués le réalisateur de Comme chien et chats - La Revanche de Kitty Galore (2010) et de Voyage au centre de la Terre 2 : L'île mystérieuse (2012). Propulsant cette fois The Rock au cœur d’un gigantesque tremblement de terre, provoqué par la faille de San Andreas, il met en scène le pire cauchemar des Californiens… Un cauchemar qui prend d’autant plus d’ampleur en 3D et qui résulte d’un tournage particulièrement intense. À la veille de la sortie de ce film évènement au cinéma, coup de projecteur sur les coulisses de San Andreas.

« Je pense qu’il est honnête de dire que personne n’est capable de prédire sa réaction face à une situation telle que celle-ci », soulignait Beau Flynn (producteur) dans un entretien, au sujet de l’héroïsme qui caractérise le personnage de Ray (Dwayne Johnson), détaillant : « On peut choisir de l'affronter ou de fuir. C’est l’une des questions que nous abordons dans ce film ». Pour mettre en images cet aspect majeur du scénario, Brad Peyton et son équipe n’ont pas hésité à repousser les limites du genre, pour offrir un concentré d’action aux inconditionnels. Ne faisant pas dans la demi-mesure, le cinéaste a fait le choix de privilégier au maximum les séquences en prises de vue réelles.

Un parti pris artistique révélateur de sa volonté de mêler spectaculaire et situations plus intimistes, pour une immersion totale au cœur de l’angoisse. À cela s’ajoute un travail particulièrement abouti en termes de cascades, de choix des décors et d’effets mécaniques à couper le souffler. De quoi donner le vertige aux spectateurs les plus aguerris et offrir à The Rock un rôle taillé pour lui. Même les chiffres donnent le vertige, à l’instar des 1.300 plans d’effets visuels qui ont été nécessaires pour montrer des routes en train de se soulever, des ponts qui s’écroulent et des incendies infernaux, se propageant d’immeuble en immeuble.

Avec San Andreas, grand spectacle est gigantisme sont au rendez-vous ! De sorte que le tsunami qui a été reconstitué en post-production donne véritablement l’impression de voir un mur d’eau de la taille d’un immeuble de 15 étages s’abattre sur la ville de San Francisco. Fidèle à l’avant-goût sous haute tension qu’on décèle dans la bande annonce, le film de Peyton tient ses promesses en insufflant une belle dose d’adrénaline au public, tout en l’amenant à s’identifier aux protagonistes.

« Brad [Peyton] est un excellent conteur et il sait exactement comment trouver l'équilibre entre le drame et l’émotion », rappelle Flynn.

Oscillant entre tournage en studio et tournage en extérieur, scènes réelles et infographies, le cinéaste a redoublé d’efforts, en s’impliquant à 200% dans ce projet, qui n’aura pas été de tout repos. Il se souvient : « Nous avons été sur la terre ferme pendant seulement trois jours. Si nous n’étions pas dans l’eau, on était à bord d’un bateau ou d’un hélicoptère. Pendant une semaine, je filmais le bateau sur un plateau équipé d’un fond vert, on faisait toutes ces cascades avec de l’eau qui giclait de toutes parts ; puis c’était l’hélicoptère la semaine suivante, et puis un avion », avant de conclure : « C’était vraiment intense mais de tels changements de rythmes sont bénéfiques pour le film, car il n’y a pas de temps mort ».

Pour vivre l’expérience San Andreas et plonger au cœur de l’angoisse en 2D ou 3D, rendez-vous au cinéma dès demain !

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