Warner Bros. Actualités 5 bonnes raisons de découvrir le démentiel Mad Max : Fury Road

5 bonnes raisons de découvrir le démentiel Mad Max : Fury Road

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5 bonnes raisons de découvrir le démentiel Mad Max : Fury Road

Errant dans le désert, en quête d’un espoir auquel il ne croit pourtant plus depuis longtemps, 'Mad' Max Rockatansky va croiser la route des War Boys, un groupe de redoutables guerriers à la solde au despotique Immortan Joe. Tandis qu’ils le font prisonnier, un évènement va les contraindre à prendre la route à bord de leurs bolides : la fuite de Furiosa avec les cinq favorites de Joe pour leur rendre leur liberté et leur offrir un avenir digne de ce nom. Un acte de rébellion qui provoque la rage du tyran de la Citadelle et marque le début d’une course-poursuite aussi périlleuse qu’enfiévrée. Faisant équipe avec Furiosa, Mad Max ne reculera devant aucun danger pour mettre des bâtons dans les roues de leurs assaillants…

Il y en a de nombreuses mais nous avons choisi 5 bonnes raison de voir Mad Max : Fury Road :

1) Pour la trilogie originelle

Initiée à la fin des années 1970, la saga Mad Max est devenue culte pour toute une génération dès la sortie du premier opus, au printemps 1979. Fort d’un « jusqu'au-boutisme jubilatoire » (À voir à lire) et porté par un Mel Gibson dont ça sera le projet de la révélation, ce premier Mad Max pose les bases de la franchise et vaut à George Miller de passer son baptême de réalisateur avec succès. Jamais un film australien n’avait connu un tel engouement, si bien qu’une suite et un troisième opus verront le jour en 1981 et 1985. Trente ans après que Mad Max ait déserté les route de son monde post-apocalyptique, Mad Max : Fury Road fait renaître cet anti-héros sous les traits de Tom Hardy. Un pari gagnant au vu de la performance d’acteur que livre le comédien.

2) Pour le coup de maître de George Miller

De la carrière d’ambulancier qu’il a menée avant de se tourner vers le cinéma – selon la légende – George Miller a conservé un goût démesuré pour la vitesse. Une vitesse qui sert de fil conducteur à sa saga, au même titre que la dystopie, la violence, les paysages désertiques et le peu de dialogues qu’échangent les personnages. Autant d’ingrédients qui font la singularité de cet univers, que le cinéaste ne se lasse pas d’explorer, et qu’il retrouvera avec deux films supplémentaires : Mad Max V et VI. Réalisateur multifacettes, il n’a pas hésité à sortir des sentiers battus pour se constituer une filmographie éclectique, qui lui ressemble. Ainsi, aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est à George Miller qu’on doit Babe, le cochon (1998) dans la ville et le diptyque Happy Feet (2005 et 2011). Pour autant, c’est aux commandes de la licence Mad Max qu’il est le meilleur, comme le confirme le magistral dernier-né de la saga.

3) Pour le duo de choc et de charme Hardy / Theron

Fruit d’une gestation longue de 12 ans, ce quatrième Mad Max représentait un défi de taille pour le père de la saga. S’il a révélé avoir un temps pensé au regretté Heath Ledger pour incarner le rôle-titre, c’est finalement à un autre acteur de la trilogie du Chevalier Noir que Miller a confié le soin de ressusciter Mad Max : Tom Hardy. Conscient de la responsabilité pesant sur ses épaules, ce dernier a expliqué en conférence de presse : « Au début j’ai un peu hésité à accepter le rôle parce que, pour moi comme pour tout le monde, Mad Max c’est Mel Gibson ». Fort heureusement, le comédien a surmonté ses doutes pour marcher dans les pas de Gibson. Convié à la première du film à Los Angeles, quelques jours avant sa projection cannoise, le premier interprète de Mad Max a félicité Miller, qui parle d’un « moment empreint d’émotion » en évoquant ces retrouvailles avec son acteur fétiche. Apportant quant à elle une touche féminine des plus appréciables, Charlize Theron prouve que les films d’action ne sont pas réservés aux hommes. Méconnaissable sous les traits d’une Furiosa avec les cheveux à raz et un bras mécanique, elle fait une nouvelle fois état de son talent à se glisser dans des rôles exigeants. Un duo qui fait des étincelles et dont l’alchimie donne une intensité supplémentaire au film.

4) Pour la dose d’adrénaline qu’il procure

Résolument badass, Fury Road donne l’impression que la course folle de Max ne s’arrête jamais et que les kilomètres avalés par les voitures rugissantes sont infinis. De jour comme de nuit, par temps calme, comme en pleine tempête de sable, les bolides sont les véritables protagonistes de ce film. Un concentré d’action que Miller a imaginé à la façon d’un gigantesque opéra rock, définissant son film comme « un grand roman graphique », précisant : « Pour faire un film comme celui-ci, ce que je voulais vraiment c’était une musique visuelle ». Un genre dans lequel il excelle et qui atteint son paroxysme avec la 3D, nouveau format de prédilection du cinéaste.

5) Pour les critiques vrombissantes du Festival de Cannes

Criant au chef d’œuvre, la presse a été unanimement bluffée par la projection Hors-Compétition de Mad Max : Fury Road au 68e Festival de Cannes. Présenté dès le lendemain de l’ouverture des festivités, il s’est imposé comme « le premier choc » de l’édition 2015 selon Les Inrocks et une « baffe cosmique » pour Écran Large, remportant tous les suffrages en rivalisant de « virtuosité », comme le souligne 20 Minutes, qui assure : « Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, Mad Max est toujours le roi de la route ». « Mad Max : Fury Road est bien la claque annoncée », renchérit À voir à lire. Et le site spécialisé d’ajouter : « Cette déflagration est telle qu’il pourrait bien s’agir du blockbuster cérébral le plus brillant de la décennie. Un trip postmoderne sous acide ».

Pour découvrir le démentiel quatrième opus de la saga Mad Max, rendez-vous au cinéma avec Mad Max : Fury Road en 2D et 3D !

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