Warner Bros. Actualités 5 bonnes raisons de frissonner devant Gallows

5 bonnes raisons de frissonner devant Gallows

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5 bonnes raisons de frissonner devant Gallows

Milieu des années 1990, dans une petite ville des États-Unis. Lorsque le jeune Charlie meurt, le soir du spectacle de son lycée – une pièce intitulée Gallows – tout le monde est en émoi. Pourtant, ce qu’ils ignorent, c’est que ce drame aura des conséquences 20 ans plus tard… Souhaitant rendre hommage à l’adolescent en remontant la pièce originelle, une poignée de lycéens va involontairement réveiller les fantômes du passé . Ils ne le savent pas encore, mais leur initiative les plongera en plein chaos.

Il y en a de nombreuses mais nous avons choisi 5 bonnes raisons d’aller voir Gallows :

1.Pour son intrigue glaçante

Entraînant le spectateur au cœur de l’angoisse, Gallows rappelle que le lycée est un lieu propice aux sueurs froides. Tandis que l’heure est au farniente et que cours et examens semblent bien loin, ce teen movie horrifique donne un avant-goût de rentrée aux vacanciers les plus courageux. Si, au quotidien et en plein jour, l’école paraît déjà effrayante à nombre d’élèves, elle peut aussi se transformer en un véritable cauchemar ; comme l’ont imaginé Travis Cluff et Chris Lofing , le tandem de scénaristes-réalisateurs de Gallows. Prenant un malin plaisir à torturer leur public en déroulant le fil d’une intrigue implacable, qui prend sa source 20 ans en arrière , ils en profitent pour faire un bref caméo, jouant respectivement un prof d’Arts Dramatiques et un élève.

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2.Pour l’implication de son équipe artistique

Outre Cluff et Lofing, ainsi que les talentueux techniciens qui les entourent, le casting de Gallows participe au réalisme du film. Composée d’acteurs encore inconnus mais déjà prometteurs, la distribution permet au public de s’identifier instantanément à ces personnages, qui ressemblent à nombre d’ados et dont la peur est communicative. Un parti-pris artistique destiné à renforcer l’impression d’authenticité qu’on ressent en voyant le film et qui permet d’ancrer l’histoire dans une dimension plus prégnante. À l’instar des sagas Destination Finale et Paranormal Activity , dont Gallows s’inspire dans sa forme, la jeunesse des acteurs insuffle une émotion supplémentaire. Forts de la pleine confiance que les deux réalisateurs portaient en eux, les comédiens en herbe ont eu le champ libre pour improviser :

« On a gardé le scénario extrêmement dépouillé et on a cherché des acteurs capables de se laisser porter par l'inspiration », souligne Chris Lofing.

3.Pour ses références aux films de genre

Empreint de multiples influences, Gallows mêle les références, en piochant les meilleurs ingrédients chez les modèles du genre, pour en restituer l’essence dans un cocktail d’angoisse et d’adrénaline. Le found footage – procédé de réalisation en caméra subjective – rappelle instantanément Paranormal Activity, que l’on devait déjà à Jason Blum , le producteur de Gallows. Mais ce film d’épouvante, qui avait terrifié le grand public en 2007, n’est pas le seul à avoir guidé Cluff et Lofing dans leur processus de création. Fans des classiques des années 1980 , ils ont voulu donner une touche eighties à leur film, mais aussi glisser quelques références à Cloverfield. Le clin d’œil à Vendredi 13 (1980), le film culte de Sean S. Cunningham, est quant à lui involontaire. Le hasard a simplement voulu que la scène d’ouverture du long métrage ait été tournée un vendredi 13, date qui correspondait de surcroît au 13e jour du tournage.

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4.Pour la sensation d’immersion qu’il procure

Grâce à son utilisation intense et efficace du found footage, le film montre qu’une petite production peut avoir un impact émotionnel intensifié par rapport à un blockbuster noyé dans une cascade d’effets spéciaux. Ici, l’accent n’est pas mis sur la post-prod mais sur la spontanéité des personnages. Cet aspect est en partie dû à la direction d’acteurs dont ont fait preuve les deux cinéastes. Privilégiant l’effet de surprise, ceux-ci n’ont parfois donné aucune indication pour jouer les scènes-clés, de façon à ce que les acteurs soient naturellement saisis par les évènements. Un tournage qui aura été un brin éprouvant pour Cassidy Gifford , qui prête ses traits à la pom-pom girl, comme elle l’a expliqué en confiant :

« On a entendu et vu des choses inquiétantes et ça a rendu tout cela vraiment réaliste. Pour être honnête, j'ai eu peur à plus d'une reprise ».

5.Pour les réactions des spectateurs

Sorti au début du mois aux États-Unis et cette semaine sur les écrans français, Gallows tient ses promesses en emportant les spectateurs dans un aller-simple vers l’angoisse . « C’est efficace (…) et ça fait peur », salue le site argentin Clarin , tandis qu’Écran Large évoque « certaines séquences très joliment emballées ». Pour autant, ceux qui parlent encore le mieux du film sont les mordus d’épouvante, qui font part de leur enthousiasme sur les réseaux. On peut ainsi lire sur Twitter : « Ce film est tellement flippant #gallows », « Déjà que j'ai fait 15 crises cardiaques en voyant #insidious3 alors #Gallows je vais en faire 50 », ou encore : « Il est stressant ».

Pour découvrir Gallows à votre tour, rendez-vous au cinéma dès à présent !

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