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Tout schuss sur les films d’hiver

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Tout schuss sur les films d’hiver

Qu’on soit adepte du cocooning ou des sports d’hiver, l’hiver est la saison de la cinéphilie. Rien de tel que de s’envelopper dans un plaid pour apprécier les décors enneigés de films qui font la part belle aux cimes blanches d’une nature tantôt fun, tantôt hostile. De la comédie au film familial, en passant par le thriller horrifique, la romance et le film d’aventures, place à la sélection des vacances de février . En piste !

La Première Étoile

Souffrant d’un quotidien peu exaltant, partagé entre petits boulots et verres entre amis au PMU de son quartier, Jean-Gabriel ( Lucien Jean-Baptiste ) prend un jour une décision qui va surprendre tout le monde : emmener sa famille aux sports d’hiver . Ce qui devait être de tranquilles vacances avec ses proches se transforme vite en un parcours du combattant, à mesure que gaffes et préjugés s’accumulent !

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À la fois devant et derrière la caméra, Lucien Jean-Baptiste signe une comédie originale et réjouissante avec La Première Étoile (2009), sa première réalisation. Entouré d’un talentueux casting emmené par une Firmine Richard survoltée, il bouscule les stéréotypes dans la joie et la bonne humeur. Anne Consigny, Michel Jonasz et Bernadette Lafont complètent la distribution, sans oublier la jeune première Astrid Bergès-Frisbey . Lauréat de deux prix au Festival de l’Alpe d’Huez et nommé au César de la Meilleure première œuvre, ce film n’a pas une mais trois étoiles presse et spectateurs sur Allociné !

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Happy Feet

Qui a dit que le grand froid ne pouvait pas être funky ? Sur sa banquise australe, Mumble est un manchot qui aspire davantage à faire des claquettes qu’à donner de la voix, au grand dam de ses congénères mélomanes. Au pays des neiges éternelles (ou presque), ne pas chanter est considéré comme une tare, de surcroît quand on est un oiseau. Mumble, qu’on peut traduire par « marmonnement », ne va pourtant pas se laisser abattre. Il se retrousse les manches et prend le contre-pied de la tradition en s’imposant comme le premier manchot capable de concurrencer Fred Astaire ! Dans la suite de ses aventures, c’est son fils qui se lancera dans la danse. De quoi passer l’hiver du bon pied.

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Réalisé en images de synthèse et accessible aux jeunes spectateurs dès l’âge de 6 ans , Happy Feet a connu un franc succès à sa sortie en 2005, en enregistrant plus de 383M$ de recettes internationales. Avec le relief de la 3D, Happy Feet 2 (2011) a également été plébiscité par un public de petits et grands aficionados . Deux films d’animation qu’on doit à George Miller , le père de la saga Mad Max . D’aucuns seraient surpris de voir le nom de Miller au générique de ce diptyque familial, mais n’oublions pas que la ligne directrice de sa filmographie est l’écologie. Pour l’anecdote, le regretté Robin Williams livre aussi une sensationnelle performance de doubleur dans le rôle de l’inénarrable Lovelace .

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Shining

En acceptant d'être le gardien d'un hôtel de montagne complètement isolé, Jack Torrance (Jack Nicholson) est loin d’imaginer dans quelle spirale infernale il va être pris au piège. Succombant peu à peu à l’atmosphère étrange des lieux, il commence à se comporter d’une façon qui ne lui ressemble pas et qui inquiète sa femme, Wendy, alias Shelley Duvall . Tandis que leur fils Danny parcourt les allées désertes sur son tricycle, Jack Torrance sombre progressivement dans la folie…

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« On attendait, du grand cinéaste doublé d'un mégalomane, un monument ou un monstre. On a tout cela », résume Positif en décernant cinq étoiles à Shining (1980). Un sans-faute critique, pour un film labélisé 92% fresh par Rotten Tomatoes . Véritable objet de fascination pour les fans, le mystère qui entoure l’intrigue a contribué à forger le mythe et vaut au film d’être, encore aujourd’hui, au cœur des débats de cinéphiles. Fidèle à sa réputation de réalisateur visionnaire, Stanley Kubrick transforme le best-seller de Stephen King ( Shining, l’enfant lumière ) en un huis-clos oppressant accentué par le Steadicam. Si la légende veut que Shelley Duvall ait été internée à l’issue du tournage, nul doute que le « Wendy, I’m Home » ( Wendy, je suis rentré ) que lui lance Nicholson dans le film a fait frissonner plus d’un spectateur.

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Un Amour d’hiver

Au début du siècle dernier, la ville de New York est le terrain de jeu privilégié de Peter Lake ( Colin Farrell ), un as du cambriolage. Alors qu’il s’introduit dans une maison avec de mauvaises intentions, il fait la connaissance de Beverly Penn (Jessica Brown Findlay). Bien que tout les oppose, c’est le coup de foudre. Mais la tuberculose qui gagne peu à peu Beverly ne leur permettra pas de vivre leur rêve de bonheur. Inconsolable, Peter tente par tous les moyens de sauver sa bien-aimée, tandis que son ancien mentor (Pearly Soames, alias Russell Crowe ) cherche par tous les moyens à se débarrasser de lui.

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Captivé par le roman de Mark Helprin , Winter’s Tale , Akiva Goldsman (scénariste de Fringe et Je suis une légende ) avait à cœur de porter cette intrigue bouleversante à l’écran, 30 ans après la publication de l’œuvre originale. Pour son baptême de la mise en scène, il réunit un casting de haut rang et fait appel à une fine équipe côtés coulisses. À sa sortie, La Presse saluait la beauté de la photographie en observant : « Le vétéran Caleb Deschanel signe une direction photo très soignée, qui met en valeur autant le New York d'époque que celui d'aujourd'hui ».

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Jeremiah Johnson

Inspiré d’une histoire vraie qui a été reprise sous un angle sensiblement différent par Iñárritu avec The Revenant, Jeremiah Johnson (1972) relate le parcours initiatique d’un homme qui se coupe du monde civilisé pour vivre dans les montagnes Rocheuses. Anti-héros solitaire, Jeremiah Johnson ( Robert Redford ) cristallise l’angoisse et la violence propres aux grands espaces. Au-delà du thème de la nature impitoyable , le film renvoie aussi au contexte de contestation de la Guerre du Vietnam qui agitait la jeunesse américaine à l’époque.

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Seconde collaboration de l’emblématique tandem Sydney Pollack / Robert Redford , Jeremiah Johnson se situe à mi-chemin entre le conte philosophique et le western. Sorti en salles au début des années 1970, il est l’un des derniers symboles de ce genre cinématographique, alors chancelant. Dépaysement garanti, pour un film qui avait été sélectionné au 25e Festival de Cannes , et dont la critique ne tarit pas d’éloges : « Étrange cas que ce chef-d’œuvre de Sydney Pollack et sans doute l'un des derniers monument(s) du western », peut-on ainsi lire sur Critikat.com . Près de 45 ans avant d’être à l’affiche de Truth : Le Prix de la Vérité (2016), Redford prouvait déjà à quel point les personnages à contre-courant sont taillés pour lui.

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