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Entourage : Les boys conquièrent la presse

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Entourage : Les boys conquièrent la presse

Difficile de se passer de Vince, Drama, E. et Turtle bien longtemps. Si les fans sont forcément enthousiastes de renouer avec la fine équipe d’Entourage, il en va de même pour la critique, qui adresse ses bons mots au film de Doug Ellin. Créateur et showrunner de la série éponyme, il a tenu les rênes du programme culte HBO, pendant huit saisons riches en situations cocasses et en répliques bien senties. Surtout en ce qui concerne l’inénarrable Ari Gold qui est, évidemment, à nouveau de la fête. Un mélange d’humour borderline à souhait et de nonchalance assumée, qui a fait le succès d’Entourage à la télévision, désormais décliné sur grand écran. Prolongeant l’aventure avec panache, en reprenant le fil de l’intrigue six mois après l’ultime épisode – sobrement intitulé La Fin (épisode 808) – Entourage le film réunit les mêmes ingrédients mais change la recette ! Une savoureuse plongée dans les coulisses du star-system, à découvrir en salles dès le 24 juin. Revue de presse des meilleures réactions.

The ride ain’t over !

Après avoir mis Hollywood à ses pieds en tant qu’acteur, Vince rêve de donner un nouvel élan à sa carrière en gravissant un échelon supplémentaire : celui de la réalisation. Un défi de taille, qui ne semble pourtant pas l’effrayer outre-mesure… à l’inverse d’Ari Gold, son fidèle producteur, qui joue gros avec ce film. Pris en tenailles entre son envie de voir aboutir le projet de 'Vinnie' et les obstacles que ses financeurs ne cessent de mettre sur sa route, Ari va devoir redoubler d’efforts pour parvenir à garder son sang-froid. Mais le sang-froid fait-il seulement partie de son vocabulaire ? Pour ne rien arranger, l’entourage de Vincent n’est pas non plus au bout de ses peines puisque, comme de coutume, Drama, E. et Turtle ont l’art de se retrouver dans le pétrin. Qui a dit qu’Hollywood n’était que strass et paillettes ?

Doug Ellin, l’expert du fun

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Dressant toujours un portrait au vitriol de la machine à rêves qu’est Hollywood, Doug Ellin prouve qu’il n’a rien perdu de son mordant en se lançant à la conquête du Septième Art avec un film qui reste fidèle à l’œuvre originelle, tout en réservant de belles surprises aux puristes. Premier constat, après quatre ans d’absence : « Entourage revient sur grand écran dans un Hollywood métamorphosé », rappelle Le Parisien . Adrian Grenier (Vince) avait lui-même évoqué cette évolution en interview, bien que Kevin Dillon – qui campe son frère malchanceux – ait tenu à nuancer cet aspect : « Je suis dans ce business depuis tellement longtemps et c’est toujours exactement le même fonctionnement qu’à mes débuts. De petites choses ont changé mais globalement c’est pareil », avait-il souligné. Concrétisant le rêve des inconditionnels d’Entourage en passant à la vitesse supérieure, Ellin tient ses promesses.

France, Canada, Belgique… Un plébiscite international

Pour Onlike.net , sa série « ne pouvait trouver meilleur final ». Le site spécialisé détaille : « On revoit une dernière fois la galerie de personnages avec lesquels on aura vécu toutes ces années, sans compter le nombre hallucinant de guests (…) ». Se présentant comme un « fan indécrottable » d’Entourage, le critique canadien de La Presse adresse ses louanges à ce « divertissement d’été (…) qui offre des retrouvailles fort amusantes avec cette bande d'adulescents riches à craquer ». « Bien malgré nous, on finit par s'attacher à tous ces personnages de fiction qui égaient notre quotidien », renchérit-il. Visiblement ravi de retrouver la bande de potes chère à son cœur, le journaliste conclut avec une attention toute particulière à Ari Gold : « Quel personnage extraordinaire que cet Ari, un grand cœur enfoui sous plusieurs couches épaisses de rage », observe-t-il.

Même son de cloche chez ses confrères belges de la RTBF , qui louent la pléthore de caméos qui ponctuent le film, en notant que « de nombreuses stars (…) viennent renforcer le réalisme de cette représentation de l'univers hollywoodien ». De son côté, la presse US présente la comédie de Doug Ellin comme « très plaisante » (Variety) et retient qu’elle s’apparente à « une saison 9 condensée » (The Hollywood Reporter). Rolling Stone magazine est également acquis à Ari, puisqu’il dit du film qu’il est :

« Un hommage à la performance emblématique de Piven en Ari Gold, un démon qu'on aime ».

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Autant d’arguments qui renforcent d’autant plus l’impatience des fans, comme des néophytes, à la veille de la sortie d’Entourage sur les écrans français !

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