#DCSuperBattle : Les Global Guardians vs. l’Injustice League
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Quand ils ne mènent pas leurs combats en solo, les héros DC Comics s’allient pour former des escouades guerrières. Wonder Woman et son affiliation à la Justice League en sont l’exemple. Alors, avant de découvrir la version cinématographique de l’élite de justiciers le 15 novembre, comparons ses antagonistes de l’Injustice League aux héroïques Global Guardians .
Les Global Guardians
Membres éminents : Doctor Mist, Jack O'Lantern, Rising Sun, Impala.
Origines et avatars : Les Global Guardians sont nés de la volonté d’internationaliser les profils des super-héros. Issus de contrées lointaines mais portés par une envie commune de faire le bien, ces « gardiens globaux » représentent la veine universelle de la justice. À l’origine, une poignée de protagonistes de la série animée Super Friends collaboraient avec la Justice League , jusqu’à ce que les artistes DC décident de les réunir au sein d’une équipe indépendante, à laquelle allaient se greffer d’autres personnages aux horizons divers. À la manœuvre, on trouve E. Nelson Bridwell (scénariste de Fire) et l’illustrateur Alex Saviuk , pour la première mouture de 1982, qui s'est ensuite étoffée au fil des ans.
Mode opératoire : Venant de Grèce (Olympe), d’Irlande (Jack O'Lantern), du Danemark (La Petite Sirène), du Japon (Rising Sun), ou d’Afrique (Doctor Mist), les membres fondateurs ont tous leurs spécificités . Ce dernier est le leader de l'équipe. En plus de maîtriser la sorcellerie , le docteur était réputé pour être immortel, mais il tombera sous le joug de Mordru, qui le jette dans une piscine d’acide. Son équipe lui survit et se bat avec courage, mais aussi avec une force surhumaine et des connaissances en physique et en magie pour plusieurs d’entre ses membres.
L’Injustice League
Membres historiques : Le Joker, Lex Luthor, Cheetah.
Origines et avatars : Exact opposé de la Justice League , l’Injustice League regroupe les pires méchants DC ; et ils n’ont pas l’humour de la Suicide Squad ! Créée dans une dynamique aussi internationale que celle des Global Guardians, elle fonctionne comme un syndicat du crime à échelle mondiale . Les premiers à avoir posé les jalons de l’escouade sont Keith Giffen et J. M. DeMatteis dans le Justice League International #23 de 1989. Rebootée à l’été 2000 avec le Silver Age: Showcase #1 , l’Injustice League a progressivement englobé les nouveaux cadors de la pègre dans ses rangs.
Mode opératoire : À la tête de la première équipe, on trouve le redoutable Agamemno , emblématique méchant de l’âge d’argent créé par Mark Waid , dont la particularité est de pouvoir échanger son esprit avec d’autres. C’est lui qui contacte Lex Luthor pour lui soumettre l’idée d’un bataillon au sens large. Les « talents » des criminels du DCverse ainsi additionnés, l’Injustice League possède une force de frappe allant de la diffusion de gaz hilarant , à des sens ultradéveloppés et une endurance à toute épreuve. Surtout, l’escouade se caractérise par une totale absence de compassion envers ses ennemis.
La battle
S’opposant sur le plan idéologique, les Global Guardians et l’Injustice League se ressemblent d’un point de vue structurel. Chacune de ces escouades guerrières met en application le fameux adage selon lequel « le nombre fait la force ». Pour autant, comme l’Injustice League représente le versant maléfique de l’élite DC , on aurait peine à croire que les Global Guardians puissent l’anéantir. Nous déclarons donc l’Injustice League gagnante .
Pour rappel, Justice League sortira le 15 novembre. D’ici-là, Wonder Woman vous régale en solo et vous pouvez retrouver la plupart des méchants au générique du jeu vidéo Injustice 2 !
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