Warner Bros. Actualités Les coulisses de CREED – L’Héritage de Rocky Balboa

Les coulisses de CREED – L’Héritage de Rocky Balboa

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Les coulisses de CREED – L’Héritage de Rocky Balboa

Depuis sa sortie sur les écrans, CREED – L’Héritage de Rocky Balboa (actuellement à l’affiche) galvanise presse et spectateurs. En dévoilant le visage du successeur de Rocky – le combattif Adonis 'Creed' Johnson, campé par Michael B. Jordan – Ryan Coogler réalise un rêve d’enfant. À la fois metteur en scène, producteur et scénariste, il apporte sa pierre à l’édifice d’une franchise qu’il avait coutume de regarder avec son père, comme il le confiait en entretien. Au-delà du mythe que Stallone a initié, le cinéaste en herbe dresse le portrait d’un jeune en quête de filiation, qui trouve en Rocky un modèle à suivre, tant sur le ring que dans la vie. Incarnant ce coach plein de tendresse, Sly se dévoile comme jamais, grâce à ce spin-off qui marque sa septième apparition sous les traits de Rocky. N°1 du box-office français , CREED – L’Héritage de Rocky Balboa est le film coup de poing de ce début d’année ! Focus sur les coulisses du tournage.

La genèse du projet

Très impliqué sur ce projet qui signe son second passage derrière la caméra, Ryan Coogler ne tarit pas d’éloges sur la franchise qu’il prolonge : « J'ai grandi en regardant les films de Rocky avec mon père, c'était notre passion commune », explique-t-il, précisant : « Rocky est un personnage auquel les spectateurs s'identifient, qu'il s'agisse des fans de cinéma d'action ou de drames, des incurables romantiques et même des simples cinéphiles : tout le monde aime cette saga car tout le monde s'y projette ». Une universalité qu’il perpétue à son tour, en se situant à mi-chemin entre film de boxe et film indé.

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Spectaculaire, drôle et touchant , CREED – L’Héritage de Rocky Balboa fait vivre mille émotions au public, tenu en haleine de la première à la dernière minute. Michael B. Jordan raconte : « J'ai toujours ressenti une grande responsabilité vis-à-vis de ce personnage et j'ai cherché à le préserver ». Conscient de l’immense attente des puristes, le comédien a mis les bouchées doubles pour être à la hauteur de l’événement, en s’entraînant avec de véritables champions , qui ne l’ont pas ménagé ; comme en atteste la vidéo dans laquelle on le voit essuyer un KO. Déjà en tête d’affiche du précédent film de Coogler, Jordan n’a pas démérité à la confiance que le réalisateur a placée en lui :

« Ryan est intelligent et très doué, et c'est un plaisir de travailler avec lui. (…) Quand le projet a commencé à se concrétiser, j'ai voulu m'y investir et là je me suis rendu compte qu'il s'agissait d'une énorme responsabilité puisqu'on poursuivait la tradition de 40 ans de Rocky » (Michael B. Jordan)

Un tournage intense

S’impliquant corps et âme dans le film, l’acteur marche dans les traces de Stallone , qui avait seulement deux ans de plus que lui lorsqu’il s’est glissé pour la première fois dans le short rouge et blanc de Rocky. Sculptant sa carrure à raison de séances de musculation quotidiennes, le comédien sait aussi que l’aspect psychologique de son rôle devait transparaître de son jeu : « La boxe est avant tout une discipline qui se joue à 80 % dans la tête », observe-t-il, détaillant : « On peut être vaincu avant même de sortir du vestiaire. C'est pourquoi un bon 'corner man' ou entraîneur doit être un vrai psychanalyste du ring ». Une jolie manière de décrire la relation que son personnage entretient avec Rocky, mais qui n’élude pas l’exigence constante dont Jordan a dû faire preuve durant la phase préparatoire, face aux professionnels qui incarnent ses adversaires à l’écran : Anthony Bellew, Andre Ward et Gabriel Rosado .

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« À chaque fois que Michael monte sur le ring sous les traits d'Adonis, il affronte de vrais boxeurs » (Coogler)

Sylvester Stallone salue sa rigueur en notant : « Même après avoir fini une scène et l'avoir mise en boîte, il peut revenir vingt minutes après et dire 'j'ai pensé à quelque chose d'autre : ça vous dérange qu'on fasse une dernière prise ?' Et bien évidemment, celle-ci est encore meilleure ». Bellew rappelle, quant à lui, que « la saga Rocky cerne parfaitement bien ce qu'endure un boxeur, et pas seulement du point de vue physique ».

« Il m’a fallu un an de travail acharné pour me mettre en condition physique pour ce projet » (Michael B. Jordan)

Sous l’égide de l’entraîneur et conseiller technique Robert Sale et du coach Corey Calliet , Jordan s’est plié à un programme d’entraînement combiné à un régime nutritionnel strict ; que ce dernier a compensé en buvant 5 litres et demi d’eau par jour . L’autre contrainte qu’il lui a fallu surmonter est plus surprenante. « Comme Jordan a les pieds plats, on a fait toutes sortes d’exercices pour qu’il travaille ses déplacements », révèle Calliet, « bouger, sauter, se déplacer à cloche-pied, faire des burpees ». En plus de cette performance, la mise en scène s’appuie sur une technologie de pointe, qui offre une saisissante sensation d’immersion. À l’aide d’un stabilisateur de caméra MoVI, plus léger et plus facile à manipuler qu’une Steadicam, Ryan Coogler a pu filmer à 360° , offrant des séquences à couper le souffle aux mordus de boxe.

Le résultat, sans appel, est à découvrir en ce moment au cinéma !

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