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Cake : La métamorphose de Jennifer Aniston

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Cake : La métamorphose de Jennifer Aniston

Indissociable Rachel de Friends, Jennifer Aniston a habitué son public à rire de ses maladresses sur petit et grand écrans, grâce aux rôles comiques dont elle a le secret et qui constituent l’essentiel de sa filmographie. Avec Cake, la comédienne s’apprête à changer la donne, en faisant un virage à 180° vers le registre dramatique. Résolument différent de ses précédents projets, ce film intimiste signé Daniel Barnz marque un tournant dans sa carrière, puisque l’actrice y apparaît sans maquillage et portant des cicatrices au visage pour camper une femme d’une quarantaine d’années, dépressive et luttant pour s’en sortir. Un rôle de composition qui suscite l’effervescence de la presse et de ses fans, impatients de découvrir Cake le 8 avril dans les salles françaises. Le point sur la sensation indé du printemps.

Ex-membre de la bande d’amis la plus culte de la télévision, Jennifer Aniston est la friend qui a le mieux su tirer son épingle du jeu à l’arrêt de la série, en 2004. Enchaînant les succès populaires au box-office depuis le milieu des années 2000, elle est devenue une figure incontournable de la romcom US, mais aspire aujourd’hui à dévoiler une autre facette de son jeu ; une facette plus exigeante. Méconnaissable sous les traits d’une quadragénaire usée par la vie et partagée entre espoir et désillusion, elle donne du relief à un rôle qui ne manquera pas de surprendre son public.

Si la métamorphose de Jennifer Aniston impressionne, la star hollywoodienne n’est pas seule à faire un grand écart dans son parcours. Également au casting, Felicity Huffman – alias Lynette Scavo de Desperate Housewives – tranche aussi avec le registre léger qui l’a rendue célèbre à l’international et en profite pour signer sa seconde collaboration avec Daniel Barnz, qui l’avait déjà dirigée face à Elle Fanning dans Phoebe in Wonderland (2008). Peu connu en France, Barnz fait désormais partie des cinéastes indépendants à suivre de près à Hollywood.

Après un court-métrage prometteur en 2001, il a fait ses armes de réalisateur avec trois films à dominance dramatique – Phoebe in Wonderland, Sortilège et Learning to fly – et concentre aujourd’hui toute l’attention de la critique avec Cake. Projeté en avant-première mondiale dans la section des Présentations spéciales du TIFF, son dernier-né a fait sensation auprès des festivaliers dès le mois de septembre et alimente depuis les rumeurs de nominations aux Oscars.

Écrit par le scénariste débutant Patrick Tobin, Cake se dote d’une distribution cinq étoiles, emmenée par Sam Worthington, Anna Kendrick, Britt Robertson, William H. Macy et Mamie Gummer, la fille de Meryl Streep. Côté coulisses, on retrouve Ben Barnz et Kristin Hahn à la coproduction, tandis que Rachel Morrison prend en charge la direction de la photographie, Kristina Boden le montage et Myron Nettinga la composition de la bande originale.

Nommée à la fois aux Screen Actors Guild Awards et aux Golden Globes, Jennifer Aniston reste toutefois la personnalité qui se détache le plus du casting. Ayant récemment repris son rôle d’irrésistible dentiste nymphomane dans la suite de Comment tuer son boss ? – toujours à l’affiche actuellement – elle brouille les pistes avec panache devant la caméra de Barnz. Un 'rôle à Oscar', comme l’évoquent nombre de journalistes spécialisés ? Pour le découvrir, rendez-vous le 15 janvier, date à laquelle la liste officielle des nominations sera dévoilée.

Pour rappel, Cake sortira sur les écrans français le 8 avril. D’ici-là, restez connecté pour suivre toute l’actualité de ce film très attendu.

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