Warner Bros. Actualités 5 bonnes raisons d’embarquer à bord de l’Essex

5 bonnes raisons d’embarquer à bord de l’Essex

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5 bonnes raisons d’embarquer à bord de l’Essex

Saviez-vous que le mythe de Moby Dick n’était pas un mythe ? En 1820, l’Essex, un baleinier naviguant le long des côtes américaines, en fait la terrible expérience, en tombant face à un cachalot aussi gigantesque que redoutable. Un géant des mers qui, en déclenchant sa fureur contre les marins, va faire chavirer leur bateau, conduisant le valeureux Owen Chase et ses hommes à dériver dans un avenir incertain… Poussés dans leurs derniers retranchements, les chasseurs de baleine devront trouver en eux la force nécessaire pour survivre.

Il y en a de nombreuses, mais nous avons choisi 5 bonnes raisons d’aller voir Au cœur de l’Océan :

1.Pour Ron Howard

Tombé dans la marmite du Septième Art dès son plus jeune âge, Ron Howard a d’abord été un acteur en herbe, avant de gagner ses galons de réalisateur grâce à des films comme Willow, Apollo 13 ou Un Homme d’exception , primé 4 fois aux Oscars . Un 'réalisateur d’exception', qui oscille entre les genres avec le courage comme leitmotiv : « J’aime explorer la manière inhabituelle dont les personnages peuvent mettre leur courage à l’épreuve », a-t-il confié lors de sa récente venue à Paris. Maîtrisant parfaitement les rouages de la mise en scène et de la direction d’acteur, il cultive un style qui lui est propre, en entraînant, à chaque fois, son public dans un nouvel univers. Pour son premier film entièrement centré sur l’Océan, Ron Howard a mis la barre haute, en privilégiant au maximum un tournage en décors naturels et en recourant aux effets spéciaux avec parcimonie. Le résultat est sans appel, comme l’a souligné la presse, à l’instar d’Entertainment Weekly , qui salue « [ses] compétences de conteur d’histoires, la maîtrise des séquences en haute mer et l’aspect technique du film ».

2.Pour Chris Hemsworth

Renouant avec Ron Howard pour la seconde fois, Chris Hemsworth retrouve le réalisateur de Rush pour un nouveau biopic des plus mouvementés. Campant Owen Chase, Second du Capitaine de l’Essex , il donne corps à ce marin méconnu, dont l’héroïsme porte l’intrigue. Livrant une saisissante performance d’acteur, tant en termes d’interprétation que sur le plan physique, le comédien impressionne. Prouvant qu’il n’a pas froid aux yeux, Chris Hemsworth n’a pas hésité à assurer lui-même certaines cascades à risque et à perdre une vingtaine de kilos pour se fondre dans le rôle du naufragé. Véritable star d’Au cœur de l’Océan, il insuffle à ce film une dimension dramatique supplémentaire, en allant au bout de son jeu et en dotant son personnage d’un touchant supplément d’âme . De quoi rappeler que l’interprète d’Owen Chase ne se résume pas aux films de super-héros qui font sa renommée internationale.

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3.Pour l’implication des acteurs dans leurs rôles

Si la fulgurante perte de poids de Chris Hemsworth a mis ses fans en émoi et suscité un tourbillon médiatique dans la presse, il n’est pas le seul à avoir suivi un régime draconien pour donner de la crédibilité à son rôle. Tous soumis à une restriction de 500 à 600 calories journalières , les comédiens qui campent les naufragés du baleinier sont bouleversants d’authenticité. Alors que d’aucuns se sont interrogés sur les dangers liés à une maigreur si spectaculaire, Ron Howard a tenu à rassurer le grand public, en louant l’implication de son équipe artistique et en confirmant qu’elle avait bénéficié d’un suivi médical scrupuleux. Pour l’anecdote, le réalisateur est allé jusqu’à consulter Tom Hanks – qu’il a dirigé dans le diptyque du Da Vinci Code et dont il est proche – pour lui demander conseil, comme l’acteur avait perdu un nombre considérable de kilos pour incarner le naufragé de Seul au monde.

4.Pour l’histoire

Inspiré de faits réels, Au cœur de l’Océan remonte à la source de l’histoire ayant inspiré Hermann Melville (incarné par Ben Whishaw ) pour écrire Moby Dick . Romancée dans les pages de son best-seller, la rencontre des marins de l’Essex avec un gigantesque cachalot a réellement eu lieu. Un événement dont la part de vérité est restée méconnue pendant près de deux siècles, jusqu’à ce que Nathaniel Philbrick lève le voile, dans un ouvrage qui a servi de base au scénario : In the Heart of the Sea . Retranscrit en script par Charles Leavitt , ce livre-référence éclaire, sous une lumière inédite, une histoire qui fait partie de la culture populaire. Haletant et riche en émotions, le long métrage se situe ainsi à la croisée du film d’aventure et du drame. Se détachant des écueils du huis-clos , Ron Howard parvient à tenir le spectateur sur le fil du rasoir de la première à la dernière minute, grâce à l’histoire empreinte d’authenticité qu’il met en images.

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5.Pour son esthétisme à couper le souffle

Véritable claque visuelle, Au cœur de l’Océan est aussi intense d’un point de vue narratif qu’époustouflant en termes d’effets visuels, d’étalonnage des couleurs et de qualité de la photo. Une réussite que l’on doit à Anthony Dod Mantle , complice de longue date de Ron Howard et directeur de la photographie hors pair. Signant le baptême de la 3D de Ron Howard, ce nouveau long métrage reste fidèle à sa patte, tout en permettant au réalisateur de se laisser aller à des audaces stylistiques efficaces et percutantes. De la terre ferme dont ils partent, à la tragédie maritime qu’ils vont vivre, on suit les marins au plus près de leur épopée. Filmé à hauteur d’homme , Au cœur de l’Océan fait se côtoyer le gigantisme avec le registre de l’intime, en montrant que la grande histoire contient toujours une plus petite histoire, moins célèbre mais encore plus poignante.

Pour découvrir, à votre tour, Au cœur de l’Océan en 2D ou en 3D rendez-vous au cinéma sans plus attendre !

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